L’hypnothérapie permet d’ouvrir une porte de l’inconscient, qui s’est peut -être un jour refermée ou qui ne s’est sans doute jamais ouverte.
Cette porte, dont je vous parle, sachez qu’une fois ouverte, non seulement elle ne se referme jamais, mais elle vous guide vers toutes les nombreuses possibilités qui s’offrent à vous dans la vie… dans votre vie.
Durant les séances et quelque soit votre problématique, je vous guide et vous conseille pour accéder à l’ensemble de vos données et commencer à découvrir la personne que vous êtes VRAIMENT…
Bien évidemment, avant de devenir hypnothérapeute, j’ai moi-même franchi cette porte. Chaque jour, je continue d’explorer ce chemin et j’aime le partager avec vous.
Que vous évoque l’amour inconditionnel?
Il représente surtout, ce lien entre un parent et son enfant. Mais nous confondons très souvent la nature de cet amour.
Dès la naissance, nous sommes dans le don inné et instinctif face à ce petit être. Et les années passant, nous avons cette fâcheuse tendance à transformer ce don en échange. Hors c’est un leurre.
Bien sûr qu’il est difficile de les élever et de faire face souvent, au moment de l’adolescence, à leur ingratitude. Mais au final c’est un processus tout à fait normal….car ne se construisent-ils pas pour, un jour, quitter le nid?
Hors il nous arrive très souvent de leur dire: « après tout ce que j’ai fait pour toi… » et nous les trouvons, par dessus- tout, très ingrats. Pourtant l’amour inconditionnel ne doit il pas demeurer juste un don?
Ne doit on pas donner sans être dans l’attente d’un retour?
Si l’on est dans l’échange de cet amour inconditionnel entre parents et enfants, le rapport est donc forcément faussé…
Il m’a fallu plusieurs dizaines d’années et trois enfants pour enfin entendre, comprendre et admettre que ces chérubins n’étaient pas dans nos vies pour combler des manques.
Au final être parent signifie donc d’être dans le don de soi.
Néanmoins à l’âge où nous devenons parents, que connaissons nous de la véritable signification du don de soi?
Les futurs grands parents, eux, le savent, et ils se déchargent avec beaucoup, d’aisance de toute cette sacro sainte éducation. Et heureusement!!!
A l’époque, dans certaines tribus indiennes d’Amérique, ils respectaient un rituel que je trouve d’une logique implacable. Les jeunes enfants étaient élevés par les grands parents, plus souvent appelés les ancêtres. Ils partaient du principe que la sagesse s’acquiert avec le temps et les expériences. Leur éducation n’était donc pas basée sur la peur de ne pas réussir mais sur la connaissance de soi à travers les succès et les échecs.
La société actuelle nous pousse en permanence à obtenir des résultats, y compris de nos progénitures: savoir marcher, parler, lire plus vite que les autres, avoir de bons résultats, faire du sport, surveiller son poids… Où se trouve alors la véritable place pour l’apprentissage, l’échec et la satisfaction?
Alors oui être parent c’est d’abord ne plus être dans l’attente d’un retour mais bien dans le don de l’amour inconditionnel afin de faire germer en eux l’estime de soi et la confiance en soi, qui en ces temps perturbés leur manque outrageusement…. Ils ont presque oublier le bien être de la satisfaction tant ils sont obsédés par leur évolution…
Apprenons-leur à prendre leur temps et savourer chaque moment…
Merci et belle journée.